« Rangeons ce livre au nombre de ces ouvrages précieux dans lesquels l’homme bafoué et meurtri apprend comment on passe du ressentiment et de la colère à la lutte pour la justice. » (Les Lettres françaises)
« Ferdinand Oyono s’attaque au bon vieux contraste noir et blanc avec une vigueur sympathique et un sourire intelligemment désinvolte. » (Le Canard enchaîné)
« Cette verve comique soutenue par un réalisme intense… Une lumière crue et impitoyable met à nu les contradiction entre les paroles doucereuses des Blancs et leur comportement réel. » (Présence africaine)